
Aussi bizarre et incroyable que cela puisse paraître, je retourne à Pula, dans un premier temps.
Pas trop long, le premier temps, j’espère. (J’ai rendez-vous chez le dentiste. A Pula. Le 2 mars à 13 heures..)
J’aime beaucoup ce genre d’expérience : je suis allée à Podgorica me faire couper et colorier les cheveux en novembre dernier. La coiffeuse ne parlait QUE serbe. Alors pourquoi pas chez le dentiste en Croatie…
La seule différence fondamentale c’est que les cheveux repoussent. Pas les dents. J’ai vivement intérêt à potasser le vocabulaire dentaire, hein…
Dans le même ordre d’idées, j’envisage le lifting en Serbie, la blépharoplastie en Albanie, une blinde à l’Ouzo en Grèce. (programme chargé, donc…)
Je viens de quasi-terminer le chargement de la bagnole. J’emporte des millions de trucs pour rendre vivable la petite maison. Du coup la voiture ressemble à un œuf de dinosaure cuit dur. Je SAIS que j’oublie plein de trucs, mais de toute façon y a plus de place.
Après, je vais rayonner. Dans tous les sens du terme. Vers la Bosnie quand il fera moins froid, à la limite de la frontière hongroise du côté croate, et un petit coup en Serbie, faut ce qu’il faut.
Mais d’abord, il faut se cogner le voyage, c’est pas une mince affaire. L’enthousiasme n’est pas à son comble. Litote.
Pour les distraits, je re-signale qu’il faut me contacter via whatsapp, les communications coûtent affreusement cher hors UE.